Maison d'Eos & Plage de Philoxènia
Ortygiè - Grèce
SECOND LIFE
Port Saint Andre
(128, 126, 23)
propriétaire : Thierry Decosta
Une destination de rêve : Ortygiè (Ορτυγίη), petit royaume grec de l'Antiquité. Un seul moyen pour y accéder : Second Life. Ou alors peut-être simplement utiliser son imagination.
La visite de l'île commencera par la Maison d'Eos (Δόμος Ἕως) et la Plage de Philoxènia (Παραλία Φιλοξενία) toute proche. Ce n'est pas l'endroit de débarquement habituel, même s'il existe un petit port à proximité. Mais c'est certainement un des lieux les plus agréables de l'île (qui en compte portant bien d'autres également attrayants). Il s'agit d'une résidence confortable et aérée, idéale en période de grande chaleur. Son orientation lui permet de bénéficier de la beauté du soleil levant le matin et l'ombre prodiguée par le massif montagneux voisin du Kynthos (Κύνθος) la protège de son ardeur à partir du milieu de l'après-midi.
Pour se mettre dans l'ambiance : nudité absolue (en faisant abstraction des bijoux et du bandeau sur la tête). Les anciens Grecs considéraient cette tenue comme tout à fait normale. Non pas qu'ils étaient impudiques, loin de là ... Leur pudeur était simplement différente de la notre : tant que le prépuce recouvrait le pénis, pas de problème. En revanche un gland découvert était considéré comme obscène. D'où la difficulté pour les Juifs (Ἰουδαῖοι) qui vivaient en Grèce (Ἑλλάς), de s'intégrer à la société hellénique. La circoncision leur interdisait de fréquenter des lieux publics où la nudité était la règle, comme les gymnases ou les bains publics...
L'attirance de certains gays pour la Grèce antique tient-elle à ces habitudes vestimentaires ? Certainement en grande partie, sachant que seuls les corps masculins étaient ainsi exposées : la nudité en public n'était généralement pas autorisée pour les femmes (sauf peut-être pour les prostituées et les esclaves).
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